Blog : conseils de kiné
La rémunération des kinésithérapeutes peut varier selon leur mode d’exercice, leur spécialisation et leur lieu de travail. Jérôme Auger, kinésithérapeute à Paris, vous éclaire sur les différents facteurs qui influencent les revenus dans cette profession et les opportunités qu’elle offre.
Devenir kinésithérapeute nécessite une formation de quatre ans au sein d’un Institut de Formation en Masso-Kinésithérapie (IFMK) après une première année d’études supérieures (PASS, STAPS ou licence en biologie). Pour se spécialiser, des formations complémentaires permettent d’acquérir des compétences spécifiques, qui influencent souvent les revenus.
Les kinésithérapeutes peuvent se spécialiser dans divers domaines : sport, pédiatrie, gériatrie, neurologie, kinésithérapie respiratoire, et bien d’autres. Ces spécialisations valorisent leurs compétences et les rendent attractifs pour des postes ou des collaborations spécifiques :
Les salaires mentionnés ci-dessus sont indicatifs. La rémunération d’un kinésithérapeute dépend de plusieurs critères :
Les kinés les mieux rémunérés sont souvent ceux qui combinent une spécialisation avec un volume d’heures important , notamment en début de carrière.
Un kinésithérapeute salarié commence souvent avec un salaire brut mensuel d’environ 2 000 €, qui augmente avec l’expérience et les compétences acquises.
Les kinésithérapeutes libéraux ont des revenus plus variables :
Le masseur-kinésithérapeute libéral doit faire face à des charges d’exploitation qui représentent une part significative du chiffre d’affaires, telles que :
À cela s’ajoutent les impôts, taxes et cotisations sociales obligatoires, qui représentent entre 20 et 23 % sur le montant de ses bénéfices, lorsque ses revenus sont tirés d’une activité conventionnée par l’Assurance Maladie et jusqu’à 29% pour une activité non conventionnée.
En plus de la spécialisation, d’autres voies permettent aux kinésithérapeutes d’élargir leurs horizons professionnels et d’augmenter leurs revenus :
Le salaire des kinésithérapeutes varie selon plusieurs facteurs, dont la spécialisation, le mode d’exercice (salarié ou libéral), l’expérience et la localisation géographique. D’autres alternatives permettent aux kinésithérapeutes d’élargir leurs horizons professionnels et d’augmenter leurs revenus, comme se tourner vers l’enseignement, ouvrir ou collaborer dans un cabinet bien situé, ou évoluer vers des postes de gestion et coordination au sein d’établissements de santé.
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